Un dimanche à la campagne

Catégories : Femmes soumises SM camisole
il y a 9 ans

Il était venu l'attendre à la descente du train. Elle portait un petit tailleur noir dont la jupe était encore plus courte que celle qu'elle avait mise pour leur première rencontre. Pendant le voyage, elle avait dû prendre son air le plus sévère pour tenir à distance deux jeunes soldats qui ne cessaient de guigner ses jambes nues. Elle était d'autant plus sur ses gardes qu'elle ne portait rien sous sa jupe comme Rodolphe le lui avait recommandé.

Dans la spacieuse demeure, il lui fit tout d'abord déposer dans le tiroir d'une commode, le fouet qu'elle s'était bien gardé d'oublier, puis, lui faisant retirer sa veste, il lui tendit un tablier de soubrette et une petite coiffe blanche qu'elle mit dans ses cheveux. Elle se trouva transformée à l'instant en une servante "accorte" comme on dit dans les romans de gare. Mais ne sommes-nous pas précisément dans un roman de gare ?

Les six invités qui arrivèrent peu après midi étaient des hommes graves du même âge que Rodolphe. Valeria s'aperçut que sa jeunesse, son charme et sa tenue ne les laissaient pas indifférents. Elle surprit plusieurs fois des regards qui se dirigeaient vers ses jambes nues que des chaussures à hauts talons rendaient encore plus galbées.

Elle avait déjà servi plusieurs plats. Mais l'un des hommes l'importunait. Chaque fois qu'elle se trouvait près de lui pour servir, il passait subrepticement sa main derrière elle pour toucher les formes rondes de ses fesses. Elle pensait qu'il avait dû s'apercevoir qu'elle ne portait rien dessous. Enhardi par cette découverte, il tenta alors qu'elle servait le dessert d'insinuer sa main sous sa jupe. Elle parut indignée et cria :

  • Ah! ça suffit! Fichez-moi la paix à la fin!

Rodolphe l'interpella de sa voix la plus sévère :

  • Valeria, venez ici immédiatement!

Lorsque la jeune servante fut devant lui, il lui dit qu'il ne tolérait pas de l'entendre parler ainsi à ses invités. Comme la jeune fille bredouillait une excuse; il répliqua qu'il ne voulait pas le savoir et qu'il envisageait de renvoyer une domestique aussi insolente. Elle le supplia de n'en rien faire.

  • Je vous laisse le choix : ou bien vous quittez la maison dès ce soir ou bien vous recevez maintenant la punition que vous méritez.

  • Oui, monsieur, je suis prête à recevoir une punition, mais pas devant vos invités, j'aurais trop honte

  • Si, précisément, puisque c'est devant eux que vous vous êtes mal conduite. Vous nous servirez le café et nous procéderons ensuite à votre correction.

Valeria confuse baissa la tête. Tous les yeux étaient tournés vers elle. Après le café, Valeria se présenta à nouveau devant son maître.

  • Vous allez rentrer dans la maison. Là, vous retirerez tous vos vêtements...

  • Oh! non, Monsieur, je vous en supplie...

  • Taisez-vous ou c'est la porte immédiatement. Je disais donc que vous allez retirer tous vos vêtements en ne gardant que vos chaussures. Dans le tiroir de la commode de l'entrée, vous trouverez un fouet. Vous le prendrez et vous reviendrez ici.

N'osant plus protester, Valeria se dirigea vers la maison en pensant que tous ces hommes attendaient impatiemment son retour. Elle se déshabilla comme elle en avait reçu l'ordre, prit le fouet et se dirigea vers la porte qui donnait sur le jardin. Elle hésita un instant en apercevant les invités au milieu de la pelouse. Puis elle se dirigea vers eux, totalement exposée sous le soleil. Quand elle s'approcha du groupe, elle vit que tous ces hommes étaient infiniment troublés par la vue de son corps ainsi offert à leurs regards. Rodolphe lui fit signe de venir devant l'invité qu'elle avait apostrophé et lui ordonna de présenter ses excuses. Toute confuse devant cet homme assis qui regardait ses seins, ses cuisses, sa taille si fine, son ventre, sa toison claire, elle dit :

  • Monsieur, je vous demande pardon de vous avoir parlé si mal et je suis prête à recevoir la punition que je mérite.

Rodolphe prit une chaise et lui demanda de s'agenouiller dessus en tenant fermement le dossier. Tous les regards se portaient sur sa délicieuse croupe dont la blancheur tranchait sur le reste de son corps qui, depuis le début de l'été, avait pris une jolie teinte dorée.

Rodolphe se saisit du fouet et la punition commença. Elle ne put s'empêcher de gémir tant la lanière la mordait furieusement, mais en même temps l'idée de ces hommes qui assistaient au spectacle voluptueux de son corps se tordant sous le fouet provoquait en elle une très forte et délectable émotion. A la fin de la punition elle dut se lever, retourner devant l'invité qu'elle avait insulté et lui présenter ses fesses nues et flagellées en lui disant :

  • Voyez, Monsieur, la punition que j'ai reçue pour vous avoir manqué de respect

Valeria n'eut pas le droit de se rhabiller et elle dut débarrasser la table, nue devant les invités qui contemplaient son beau corps que striaient les coups de fouet.

Après leur départ, Rodolphe la reconduisit au train en lui remettant quelques feuillets qu'elle pourrait lire à loisir pendant le voyage de retour : c'était le programme d'un nouveau projet qu'il lui soumettait.

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